Le samedi 13 avril restera gravé dans la mémoire des passionnés de melodic techno actuellement à la mode, notamment ceux qui ont eu la chance d'assister à l'expérience Afterlife à Paris La Défense Arena qui affichait Sold Out. L'anticipation était palpable bien avant l'ouverture des portes à 19h, et même si nous sommes arrivés à 21h, l'énergie d'être parmi les premiers à entrer restait intacte. Devant nous, des files d'attente s'étendaient, mais l'organisation méticuleuse et réputé de Live Nation a permis une entrée fluide et rapide, un exploit en soi vu l'affluence.
La salle de l'U Arena s'est transformée en un temple de la musique électronique pour l'occasion, avec une mise en scène spectaculaire. Un écran géant dominait l'espace, devenant la toile de fond pour une toile lumineuse de LED et de lasers qui dansaient au rythme de la musique, créant une atmosphère presque irréelle comme les show Afterlife en ont l'habitude. Les gradins offraient une vue panoramique, mais ceux avec des billets pour cette zone n'avaient pas la possibilité de s'aventurer en fosse, un petit regret pour ceux désirant se rapprocher de l'action.
La musique était l'âme de la soirée, et parmi tous les sets, celui d'Anyma est celui que nous avons préféré. Son spectacle "Genenys" a été une révélation, un mélange parfait de sonorités envoûtantes et d'une performance visuelle captivante qui a engagé chaque sens. C'était un véritable voyage, une célébration de ce que la melodic techno et de ses équipes pour la partie Visual a de mieux à offrir. Mrak nous a en revanche un peu déçu avec des breaks particulièrement long et quelques transitions audiblement ratés.
Dans la foule, l'énergie était contagieuse. Les gens de tous les âges se sont réunis.. Cependant, il y avait un bémol : l'omniprésence des smartphones, levés haut pour capturer chaque moment, parfois au détriment de l'immersion totale dans l'expérience sonore et visuelle. L'effet Afterlife ! Malgré cela, la bonne ambiance n'a pas faibli, et la soirée était animée par un esprit de convivialité et de partage.
En résumé, Live Nation a assuré un spectacle de haute volée, dignement porté par le nom Afterlife. Bien que le cadre intérieur de l'U Arena ne puisse pas égaler les lieux plus exotiques où Afterlife a déjà émerveillé ses participants (exemple: Tulum), il est remarquable que Paris puisse accueillir un tel show. Cela prouve que la capitale française a sa place sur la carte des grands événements de musique électronique, offrant aux locaux et visiteurs une occasion de vivre cette magie au plus près. Merci à Live Nation pour l'invitation.
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